Alors que Cristiano Ronaldo s’est retrouvé au centre d’une drôle d’affaire ces derniers jours, la femme impliquée s’est exprimée.
Cristiano Ronaldo condamné à 100 coups de fouet en Iran ? Vendredi dernier, la nouvelle a fait le buzz tout autour du monde. En effet, pour avoir approché de trop près une femme mariée, en l’occurrence l’artiste Fatemeh, handicapée à 85%, CR7 aurait fait une entorse au code pénal iranien qui pourrait l’accuser d’adultère et donc le condamner à cette sentence violente. Cette condamnation potentielle a néanmoins été démentie avec force depuis, notamment par l’ambassade d’Iran en Espagne.
Aucune plainte déposée, affaire close
Et ces dernières heures, c’est au tour de Fatemeh de sortir du silence par le biais d’un entretien au media argentin Olé. Surtout ravie d’avoir réussi à rencontrer l’une de ses idoles, l’artiste a tenu à éteindre la polémique au sujet de cette condamnation potentielle de manière très claire.
« Je rêvais depuis longtemps de le rencontrer. Quand Al-Nassr a joué Persépolis à Téhéran, j’ai voyagé avec ma famille depuis ma ville natale pour rencontrer Cristiano à l’hôtel où séjournait son équipe. Cela m’a été très précieux. Je étais très heureuse de l’entendre. Et il m’a donné son maillot ! Je vais le garder en souvenir… C’est très important et précieux pour moi. Personne n’a le droit de le condamner s’il n’a pas de plainte judiciaire. Premièrement, Cristiano Ronaldo n’était pas au courant de cette loi en Iran et deuxièmement, ma famille et moi n’avons déposé aucune plainte, donc ces rumeurs et nouvelles sont complètement fausses. Personne ne lui a rien dit sur les lois iraniennes et il ne le savait pas non plus. »
Pour résumer
Cristiano Ronaldo aurait été condamné à 100 coups de fouet en Iran pour avoir approché une femme mariée. Cependant, la femme impliquée, l’artiste Fatemeh, a pris la parole pour clarifier la situation, démentant toute plainte et affirmant que CR7 n’était pas au courant des lois iraniennes. Elle se dit honorée d’avoir rencontré son idole et précise que personne n’a le droit de le condamner sans plainte formelle.