Ousmane Sonko sera ce jeudi devant le juge pour répondre aux accusations viols de Adji Sarr. Khalifa Sall, lors de la conférence de presse des leaders de Yewwi Askan Wi mercredi, a mis en exergue la détermination des membres de la coalition à l’accompagner dans cette épreuve.
Et tous les esprits sont tournés vers mars, sa réédition. « Nous ne pouvons pas ne pas y penser, mais nous ne pouvons pas exclure une réédition de mars », embraie Khalifa Sall.
« Quand on est dos au mur, poursuit-il, on se défend bec et ongles, raison pour laquelle, j’ai dit une réédition de mars est possible. Mais personne ne le souhaite. »
Et, l’ancien maire de Dakar de souligner que l’audition de demain est redouté parce que « les Sénégalais sont fatigués de l’injustice en cours ».
« On pensait qu’après 2013 et 2017, aucun leader politique ne devrait plus jamais vivre ces moments-ci qui ne reposent sur rien », a-t-il ajouté.