En outre, l’ONG dirigée par Alassane Seck a rappelé à l’État ses obligations internationales en matière de droits de l’homme, en particulier la Convention des Nations-Unies contre la torture. Elle a appelé le procureur à s’autosaisir rapidement de cette affaire, affirmant que « nul n’est au-dessus de la loi ». Cet incident a eu lieu peu de temps après une attaque contre le domicile du khalife des chérif, le 26 septembre dernier. Cheikhna Cheikh Sadibou Aïdara a été légèrement blessé au doigt lors de cette attaque. Cette affaire sera jugée en flagrant délit jeudi prochain.